Ce livre historique peut avoir de nombreuses fautes de frappe, le texte manquant, des images ou des index. Les acheteurs peuvent t l charger une copie gratuite scann e du livre original (sans fautes de frappe) de l" diteur. 1887. Non illustr . Extrait: ... XV ON ME F LICITE Doubkov et Volodia connaissaient tous les habitu?"s du restaurant Jahr et en taient estim s. On nous donna une salle particuli re, o l"on nous servit un excellent d ner. Je t chais de regarder le champagne frapp avec la plus grande indiff rence. Le d ner fut tr?"s gai et tr?"s agr able, bien que Doubkov racont t sans cesse les aventures les plus tranges, qu"il essayait de faire passer pour avoir r ellement eu lieu. Quand le champagne fut vers, on me complimenta et je trinquai avec Doubkov et Dmitri, que j"embrassai ensuite. Comme je ne savais qui avait offert le champagne -- j"ai su depuis qu"il avait t pay par tous -- et que je voulais en offrir aussi, j"appelai en cachette le gar on, je lui donnai dix roubles et, voix basse, je lui commandai d"apporter une seconde bouteille. Mais mes amis avaient remarqu ma man uvre. Volodia rougit et me regarda d"une telle fa on que je compris la faute que j"avais commise. Mais on apporta la seconde bouteille et nous la b mes fort gaiement. Doubkov ne cessa pas de mentir et Volodia, de son c t, raconta des choses si plaisantes et si dr les, et cela avec tant de verve et d"esprit, que j"en fus presque tonn . Ils prenaient un plaisir tout particulier dans l"imitation d"une certaine anecdote: -- Quoi? Etiez-vous l" tranger? faisait l"un. -- Non, je n"y tais pas, r pondait l"autre; mais, mon ir re joue du violon. Ils all rent plus loin et se plurent perfectionner l"anecdote: -- Mon fr re n"a jamais jou du violon. A chaque question, ils se r